Le RT50 se compose d’un bureau élargi et d’un bureau exécutif. Les mandats ont cours entre deux assemblées générales du RT50, qui ont lieu en général le dernier jour du congrès de l’AFS, c’est-à-dire tous les deux ans.
- Le bureau exécutif est composé de 5 membres. Les mandats sont limités à deux consécutifs. On cherche à reconduire au moins un-e membre du bureau exécutif, afin de pouvoir faire un tuilage. La mixité (de statut, de genre, etc.) est privilégiée : par exemple : deux titulaires, un-e docteur-e et deux doctorant-es ; et on cherche à ce que le bureau exécutif compte au moins un-e titulaire et un-e doctorant-e. Il faut avoir été membre du bureau élargi pendant un mandat pour entrer au bureau exécutif. Lorsque plus de candidat-es se proposent que de places dans le bureau, on peut procéder à un vote.
- Le bureau élargi n’a pas de limite de nombre. Il est constitué de toutes celleux qui le souhaitent, sans quotas ni limitation de durée. Il est possible d’appartenir à un autre RT en parallèle du bureau élargi du RT50. Les membres du bureau élargi participent à la vie du RT, à la sélection des propositions de communications pour le congrès de l’AFS et proposent s’iels le souhaitent, diverses initiatives. Iels ne peuvent pas proposer de communication au RT50 au congrès de l’AFS.
Toute personne souhaitant recevoir les actualités sur la socialisation centralisées par le RT50 peut être inscrite sur la liste de diffusion des ami-es du RT. Pour se faire, écrivez-nous à l’adesse suivante : rt50afs chez gmail point com
Le bureau exécutif pour 2023-2025 est composé de :
Solène Brun : nouvellement CR au CNRS, rattachée à l’IRIS (EHESS). Travaille principalement sur les questions de race et cherche à penser la socialisation en lien avec les questions raciales.
Marion Clerc : doctorante à l’Irisso (Paris Dauphine). Travaille sur la socialisation des enfants à l’argent.
Noé Fouilland : doctorant au Gresco (Université de Poitiers), travaille sur la manière dont les étudiant·es sont socialisé·es par leurs disciplines (comparaison entre économie, psychologie et sociologie)
Gaële Henri-Panabière : MCF en sciences de l’éducation (Université Paris Cité), chercheuse au Cerlis. Travaille sur les socialisations temporelles étudiantes (avant et pendant les études) et, dans le cadre d’une recherche collective depuis 2020, sur les effets du confinement sur les dispositions individuelles.
Simon Kechichian : docteur en sociologie, rattaché au Centre Max Weber (Université Lyon 2), il a travaillé en thèse sur les loisirs périscolaires comme encadrement de l’enfance populaire.